Suite à la grève des égoutiers de France, voici ci-dessous des liens (remerciement à Thierry, Ulrich, Joël et surement d'autres camarades)
Articles
LeProgres
http://www.leprogres.fr/rhone/2013/11/26/une-centaine-d-egoutiers-devant-la-prefecture
Rhône. Une centaine d'égoutiers devant la Préfecture à Lyon
Ils étaient une centaine d’égoutiers à manifester contre la nouvelle réforme des retraites, mardi à partir de 11 heures, sur le quai Augagneur à Lyon.
Les égoutiers souhaitaient faire reconnaître la dangerosité et l’insalubrité de leur travail, condition sine qua none à la bonification de 10 ans dans le cadre d’un départ à la retraite anticipée.
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LyonMag
http://www.lyonmag.com/article/60317/lyon-150-egoutiers-manifestent-contre-la-reforme-des-retraites
Lyon : 150 égoutiers manifestent contre la réforme des retraites
Environ 150 égoutiers se sont réunis mardi en fin de matinée devant la Préfecture du Rhône pour dénoncer la nouvelle réforme des retraites.
Les manifestants souhaitaient faire reconnaître la dangerosité et l'insalubrité de leur travail. Cela fera partie des conditions requises pour la bonification de 10 ans dans le cadre d'un départ à la retraite anticipée.
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Égoutiers De France de Besançon
http://franche-comte.france3.fr/2013/11/26/les-egoutiers-se-mobilisent-pour-la-prise-en-compte-de-l-insalubrite-de-leur-profession-365383.html
A Besançon, 14 des 16 agents territoriaux chargés de l'entretien des canalisations sont en grève ce matin. Ils demandent la reconnaissance de l'insalubrité de leur métier qui leur permettrait un départ en retraite anticipée. Ils ont été reçus par la maire de Besançon Jean-Louis Fousseret puis en préfecture. Les égoutiers ont une espérance de vie de 17 ans inférieure à la population. Une statistique que les égoutiers veulent voir prise en compte dans les négociations prochaines en vue d'une réforme générale des retraites. Actuellement, rappelle le syndicat CGT, un décret permet de prendre en compte l'insalubrité de la profession d'égoutier dans le cadre d'un départ à la retraite anticipée à taux plein.
Voir la vidéo--------------------------------------------------------
Égoutiers de Strasbourg.
http://alsace.france3.fr/2013/11/26/strasbourg-les-egoutiers-dans-la-rue-pour-demander-une-retraite-anticipee-365321.html
D'habitude dans les souterrains, les égoutiers ont décidé de refaire surface ce mardi 26 novembre dans toute la France. Ils ont manifesté pour rappeler la pénibilité de leur travail et sa dangerosité alors que se prépare la réforme des retraites.
Leur espérance de vie est inférieure à la moyenne alors ils ont défilé à Strasbourg, comme dans d'autres villes de France. Selon la CGT, "Au quotidien, ils sont exposés à des polluants très nocifs pour leur santé, qu'ils interviennent en milieu souterrain ou à l'aide de leurs hydro-cureurs (inhalations d'aérosols) ou encore dans les stations d'eaux résiduaires". Pour eux, la réforme des retraites doit prendre en compte, les difficultés de leur métier.
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EstRepublicain Besançon
http://www.estrepublicain.fr/social/2013/11/26/le-metier-le-plus-dangereux
Les égoutiers mettent en avant les dangers de leur profession et notamment l’exposition aux produits toxiques et aux agents infectieux..
« DES ÉTUDES OFFICIELLES l’attestent, explique Joël Magnet, représentant des égoutiers de France CGT. Notre métier est le plus dangereux en France : dans cette profession, la durée de vie est inférieure de dix-sept ans à celle de la population française de référence. Dix-sept ans. C’est sept ans de moins qu’un ouvrier. »
En cause : « les gaz » mais aussi, les « produits toxiques » et plus généralement toutes les bactéries qui peuvent proliférer dans ces endroits confinés.
La CGT avait lancé un appel à la grève ce mardi, dans tout l’Hexagone. L’objectif : peser sur les négociations au plan national : « Dans le cadre de la réforme des retraites, explique le syndicat, le gouvernement a en effet décidé de réécrire le décret qui permettait aux égoutiers une prise en compte de l’insalubrité dans le cadre d’un départ à la retraite anticipé à taux plein. »
« Ce qu’on veut c’est pouvoir profiter de la retraite, résume Christophe, égoutier à Besançon. Si on meurt dix-sept avant les autres, on doit pouvoir partir plus tôt. » Il manifestait mardi matin avec ses collègues devant la préfecture.
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MGrenoble
http://www.mgrenoble.fr/12773-reforme-des-retraites-une-soixantaine-d-egoutiers-reunis-devant-la-prefecture-mardi.html
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MLyon
http://www.mlyon.fr/110232-lyon-150-d-egoutiers-manifestent-contre-la-reforme-des-retraites.html
Environ 150 égoutiers se sont réunis mardi en fin de matinée devant la Préfecture du Rhône pour dénoncer la nouvelle réforme des retraites. Les manifestants souhaitaient faire reconnaître la dangerosité et l’insalubrité de leur travail. Cela fera partie des conditions requises pour la bonification de 10 ans dans le cadre d’un départ à la retraite anticipée.
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Alsace.fr
http://www.lalsace.fr/bas-rhin/2013/11/27/les-egoutiers-veulent-une-retraite-anticipee
Les égoutiers veulent voir la pénibilité de leur travail reconnue. Photo Dominique Gutekunst
On ne les voit pas souvent car la plupart travaillent sous terre. Mais hier, les égoutiers étaient dans la rue pour demander la prise en compte de l’insalubrité et de la pénibilité de leur métier dans leur retraite.
Une trentaine d’égoutiers de la Communauté urbaine de Strasbourg (Cus) ont manifesté hier, dans le centre de la capitale alsacienne, pour présenter leur principale revendication au public : celle de pouvoir partir en retraite anticipée.
Rats et polluants
Une délégation a été reçue à la préfecture vers 11 h par un membre du cabinet à qui les égoutiers ont confié leur motion à remettre au gouvernement. « Les gens ne connaissent pas le métier d’égoutiers , relève Bertrand Blindauer, secrétaire général CGT à la Cus. On est là pour déboucher en permanence les conduits d’égouts, les réparer et entretenir les réseaux. Mais en bas, on est confronté aux rats et à différents polluants qui impactent notre santé malgré les équipements de sécurité qui nous sont fournis. » En surface, ce n’est pas mieux. « Les agents qui travaillent avec les hydrocureuses, ces machines chargées de déboucher les conduits en injectant de l’eau puis en l’aspirant, sont soumis à des aérosols tout aussi dangereux. »
D’où, selon la CGT, une espérance de vie diminuée de 17 ans pour les égoutiers par rapport aux autres salariés. « On baigne dans des émanations d’hydrocarbures, des gaz toxiques, des microbes et même des produits radioactifs quand on travaille à proximité des hôpitaux. Le quotidien des agents, ce sont les gastro-entérites à répétition ! » C’est pour cela que les égoutiers, au niveau national, demandent que ces critères d’insalubrité et de pénibilité soient pris en compte dans le calcul de leur retraite. « On voudrait partir à 52 ans comme les égoutiers parisiens pour lesquels on prend encore en compte le temps passé au fond. »
Fin décembre, la caisse nationale de retraite des agents des collectivités territoriales tiendra son conseil d’administration. Les égoutiers espèrent que leur demande sera entendue. « Sinon on reviendra, et cette fois ce sera peut-être moins bon enfant » , prévient le militant.
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DNA
http://www.dna.fr/edition-de-strasbourg/2013/11/27/les-egoutiers-se-mobilisent
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MaCommune Besançon
http://www.macommune.info/article/les-egoutiers-vivraient-17-ans-de-moins-que-la-moyenne-nationale-91882
Quatorze des seize égoutiers bisontins étaient en grève ce mardi 26 novembre pour obtenir une prise en compte de l'insalubrité de leur métier. Ils ont été reçus par Jean-Louis Fousseret, maire de Besançon Fousseret puis à la Préfecture.
Produits toxiques, rats, gaz, cafards, défections... Tel est le quotidien des égoutiers. De plus, ils auraient une espérence de vie inférieure de 17 ans par rapport à la moyenne nationale. C'est pourquoi les égoutiers veulent que ce chiffre soit pris en compte dans les négociations en vue d'une réforme générale des retraites, ainsi que la pénibilité de leur travail.
Actuellement, un décret permet de prendre en compte l'insalubrité de la profession d'égoutier dans le cadre d'un départ à la retraite anticipée à taux plein d'après la CGT.
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Communismeouvrier: communismeouvrier.wordpress.com/2013/11/26/strasbourg-manifestation-penibilite-les-egoutiers-veulent-partir-a-la-retraite-de-maniere-anticipee/
Répondant à un mot d’ordre national, une quarantaine d’égoutiers de la CUS se sont retrouvés ce matin, sous la bannière de la CGT, sur la place Kléber à Strasbourg. Objectif: faire connaître leurs difficiles conditions de travail. Les agents attendent que cette pénibilité soit reconnue par le gouvernement, dans le cadre de la remise à plat de leur statut.
« Nous mourrons 17 années plus tôt que la moyenne, et sept ans plus tôt qu’un ouvrier », appuie Bertrand Blindauer. La raison, selon le secrétaire général de la CGT CUS : « Les conditions de travail des égoutiers sont pénibles et insalubres. De nombreux agents en contact avec les rats, responsables de maladies. Ou sont exposés au sulfure d’hydrogène, lors des remontées aérosols des produits chimiques utilisés pour déboucher les conduits ». Pour Bertrand Blindauer, le système immunitaire des agents pâtit de cette activité, « les cas de gastro » ne sont récurrents.
Les agents égoutiers strasbourgeois ont donc cessé aujourd’hui leur activité pendant deux heures, « pour être visibles, mais pas pour embêter les gens », prévient le responsable syndical de la CGT CUS. Le but : faire connaître une profession, sans laquelle « ce serait l’insalubrité généralisée ! », expliquent-ils dans le tract qu’ils ont distribué place Kléber et de l’Homme-de-Fer à Strasbourg, avant d’aller déposer une motion au préfet.
D’où leur demande de pouvoir « bénéficier d’une mesure de justice sociale », à savoir d’un « départ anticipé à la retraite », à l’instar de leurs collègues à Paris « qui partent à 52 ans en préretraite, alors qu’ici, c’est 62 ans », indique Bertrand Blindauer.
Bon c'est comme même une phtos des égoutiers de Besançon
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France Soir Paris www.francesoir.fr/actualite/sante/egoutiers-en-greve-manifestation-pour-defendre-leur-sante-et-leur-retraite-232505.html
Les égoutiers ont battu le pavé mardi à Paris pour dénoncer leurs conditions de travail et réclamer un départ en retraite à 50 ans.
Ils ont "ouvert la bouche". Plusieurs centaines d'égoutiers ont répondu à l'appel de la CGT et se sont mobilisés mardi pour leur retraite et la reconnaissance de la pénibilité de leur métier. Didier Dumont, un responsable fédéral de la CGT a ainsi estimé qu'entre « 500 et 600 personnes ont manifesté à Paris ». Selon lui, il y avait « beaucoup de services en grève ». Une délégation aurait même été reçue au ministère de la Santé afin d'être entendue par les responsables du cabinet. Frédéric Aubisse, membre du même syndicat et représentant des égoutiers parisiens a, quant à lui, rapporté qu'il y avait 40% de grévistes dans la capitales sur 380 égoutiers.
Frédéric Aubisse a par ailleurs expliqué que la principale revendication des manifestants portait sur le retour de l'âge de la retraite à 50 ans, contre 52 depuis la réforme de 2010. Et alors qu'une étude de l'Inserm citée par la CGT a révélé que les travailleurs de ce secteur ont une espérance inférieure de 17 ans inférieure à celle du reste de la population et de 7 ans de moins que les ouvriers, les revendications portaient également sur une amélioration et une meilleurs reconnaissance de cette profession. « C'est vraiment un métier insalubre », a en effet fait valoir Didier Dumont, avant de rapporté qu'une équipe de télévision qui voulait faire un reportage sur les conditions de travail des égoutiers n'avait pas pu parvenir à ses fins, les membres de l'équipe étant pris de vomissements et autres maux de ventre...
La CGT a également relèvé que, depuis les années 60, les réseaux d'assainissement se sont développés. Outre les « matières fécales », ils contiennent aussi de multiples agents polluants, dont des substances « radioactives, produits chimiques, hydrocarbures... », a souligné le syndicat, évoquant la présence de « gaz toxiques et mortels générés par ces produits ».
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France 3 Alpes du 27-11-2013 www.macommune.info/?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A France3-Alpes-Info (France 3 - Info Alpes)ivraient-17-ans-de-moins-que-la-moyenne-nationale-91882
Fin de la grève des éboueurs et égoutiers de l'agglomération de Grenoble
Mercredi 27 novembre, deuxième jour de mobilisation pour les éboueurs et égoutiers de l'agglomération de Grenoble. Des camions de ramassage d'ordures ménagères ne sont pas sortis ou ont été bloqués à l'entrée de l'usine d'incinération. Finalement, le mouvement a été levé à 11h30.
Ce mercredi matin, le brasero s'était déplacé. Il n'était plus devant l'immeuble de la Métro mais devant le site Athanor, à la Tronche. Les grévistes entendaient ainsi bloquer les camions chargés d'alimenter l'usine d'incinération exploitée pour le chauffage urbain. Le brasero s'était déplacé mais les revendications restaient les mêmes pour la quarantaine d'agents mobilisés. Ils espèrent être le moins impactés possible par la réforme de retraites. Pénibilité et insalubrité leur permettaient jusqu'à présent de partir tôt, la réforme allonge officiellement leurs carrières.
>>>Lire aussi - Eboueurs, égoutiers... grève à la Métro
De nouvelles discussions ont eu lieu avec la direction de la Métro. L'agglomération a fait des promesses aux égoutiers, aux chauffeurs de camions et aux rippeurs. Par un tour de passe-passe, la Métro s'est engagée à maintenir la retraite à taux plein à 57 ans pour les chauffeurs et rippeurs, et à 52 ans pour les égoutiers qui travaillent sous terre. Ces derniers (il sont 8 actuellement, bientôt 9) feront aussi l'objet d'un accompagnement sanitaire particulier.
A 11h30, le mouvement était levé.
Voir la vidéo________________________________________________________
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Retraite anticipée pour TOUS les égoutiers et les personnels de l’assainissement.
C'est le moment ou jamais de se faire entendre !
Après deux manifestations importantes, les égoutiers de France et les personnels de l’assainissement ont posé avec force et détermination la question du prix de l'insalubrité.
Pas question pour eux d'accepter comme une fatalité une durée de vie de 17 années inférieure à la population Française de référence. Pas plus qu'il n'est question de renoncer à un départ à la retraite anticipé, largement mérité. Comme pour les autres salarié-es, la retraite doit servir à profiter de sa famille, en bonne santé !
Le gouvernement qui ouvre timidement et tardivement, il faut le souligner, le dossier de la pénibilité dans le cadre de sa réforme générale des retraites explique qu'il compte également « réécrire » le décret qui permettait aux égoutiers une prise en compte de l’insalubrité dans le cadre d'un départ à la retraite anticipée, à taux plein.
Or, il n'y a que 2 manières de réécrire ce texte : positivement ou restrictivement. Positivement en prenant en compte les revendications de la CGT, et plus particulièrement celle qui permettrait l'ouverture à un départ à la retraite dès 52 ans (50 ans revendiqués par la CGT) sans contrainte liée à un quota d'heures passées en souterrain.
Or, ce n'est pas cette direction que semblent emprunter le gouvernement et la CNRACL à l'heure actuelle. Pour rappel, suite à la première mobilisation la contrainte des 800 heures passées annuellement en souterrain aurait pu être abandonnée au profit d'une simple exigence d'intervenir à titre principal sur le réseau, ce qui constituait une avancée significative.
Après avoir soufflé le chaud, les représentants du gouvernement qui siègent au C.A. de la CNRACL, ont soufflé le froid en remettant en cause ces avancées. Dans ces conditions, il paraît difficile d'imaginer un revirement soudain de position tant du gouvernement que de la CNRACL dans le cadre d’une réécriture du décret. IL Y A DANGER !
La CGT a décidé de ne pas attendre et d'écrire aux ministres de la Fonction Publique et de la Santé pour réaffirmer ses positions. Dans le même temps, la CGT proposera au gouvernement une rédaction du décret qui prend en compte la dimension éminemment humaine de ce dossier.
Ces initiatives, volontaristes et offensives ont besoin d'être appuyées, soutenues, portées par l'ENSEMBLE des EGOUTIERS de FRANCE avant la réunion du Conseil d'Administration de la CNRACL du 20 décembre prochain.
Dans cet esprit, la Fédération des services publics a décidé d'une journée nationale d'action des égoutiers le 26 novembre prochain. Partout où nous travaillons, AGISSONS !
TOUS ENSEMBLE dans la lutte le 26 NOVEMBRE !
Pour que fatalité se conjugue enfin au passé.
Pour que « réécrire » rime avec AVENIR...
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ON LACHE RIEN
Chers camarades
Alors que le C.A. de la CNRACL du 27 septembre dernier devait mettre à l’ordre du jour, avec l’appui de nos administrateurs CGT, une délibération plus favorable pour la reconnaissance de l’insalubrité, le commissaire du gouvernement a tout simplement informé que le décret concernant l’insalubrité et les départs anticipés à la retraite serait réécrit.
Compte tenu de cette nouvelle orientation, notre fédération CGT a rapidement réuni le collectif retraite fédéral le 17 octobre.
Décisions ont été prises :
1°) d’informer partout le plus rapidement possible tous les syndicats qui regroupent des égoutiers.
2°) d’organiser une journée d’action le mardi 26 novembre sur chaque territoire, rassemblement, manifestation auprès des pouvoirs publics, préfecture et autres avec demande d’audience.
3°) De demander qu’une délégation soit reçue au ministère de la fonction publique et au ministère de la santé.
4°) De réécrire le décret prenant en compte la revendication pleine et entière de l’insalubrité.
Ces décisions d’action ne seront possibles que si les syndicats concernés sont partie prenante.
Informer rapidement Nathalie Dieudonné à la fédération pour lui faire part de votre avis ou décision concernant ces propositions.
Si après plus de 2 ans et plusieurs C.A. de la CNRACL le problème de l’insalubrité n’a pu être revu positivement, du fait de l’opposition des Tutelles qui siègent au C.A., Nous ne pouvons qu’être inquiets quant à la volonté du gouvernement de revoir le décret dans l’esprit de la suppression des 800 Heures.
Il est donc impératif de poursuivre notre action sous toutes ses formes et faire grandir le rapport de force.